Plus de quatre années se sont écoulées depuis l’attaque de Chicago. Cade Yeager (Mark Wahlberg), inventeur en manque de reconnaissance et plombé par les dettes, n’avait alors pas eu l’occasion de prendre part au conflit entre Transformers et Décepticons…jusqu’au jour où il fit la rencontre d’Optimus Prime. Dès lors, deux choix vont s’offrir à lui : venir en aide au CIA qui tente d’éliminer tous les Autobots ou apporter son soutien aux Transformers et, en passant, sauver la Terre.
Le navet de l’été haut la main. Par où commencer ? Histoire inexistante, narration incohérente, rythme plombé de longueurs infinies, dialogues de CP, personnages inutiles, humour lourdingue, réalisation générique as f*ck : Transformers 4 est une catastrophe de bout en bout. Puis ces ralentis en surnombre, ces placements de produits qui ne font même plus l’effort d’être discret, cette profusion d’effets spéciaux sans âme et sans punch qui rend insipide la majorité des scènes d’action (soit l’intérêt n°1 de Transformers)…
Pour dire, il n’y a que la scène des Dinobots qui m’ait mis une claque. Le reste = poubelle. Il y a tellement de passages nuls, sans intérêt, et totalement improbables qu’on se demande comment il est possible que des gens en arrivent à applaudir en fin de séance (heureusement une minorité). Pourtant j’aime bien Mark Wahlberg mais là, c’est juste indéfendable. Après, ça ne me surprend qu’à moitié vu que, parmi tous les Transformers sortis au cinéma, seul le premier m’avait emballé. Heureusement que je ne suis pas allé voir cette purge en 3D u_u