Toriko est défait. Mais alors que Tommyrod s’apprête à lui donner le coup de grâce, l’étourdisseur Teppei s’interpose dans le combat et parvient à immobiliser Tommyrod du fait de ses séquelles contre Toriko. Mais même étourdi, Tommyrod n’a pas dit son dernier mot et lâche la bête ultime qu’il gardait au plus profond de lui : le Parasite empereur (niveau 81). Voyant bien que la partie s’annonce délicate, Teppei est alors sauvé par le Hellboros centenaire (niveau 72) qui voit dans le Parasite empereur l’occasion d’un bon repas.
C’est donc un combat de titans qui s’enclenche alors que ,non loin de là, un monstre encore plus redoutable s’apprête à faire son apparition. Du coté de Toriko, l’heure est grave : son bras est arraché et il a perdu beaucoup de sang. De même pour ses compagnons qui sont tous mal en point. L’heure est venu d’aller rendre une visite au maitre de Teppei : le légendaire gourmet reviver Yosaku.
Le tome 11 est un volume de transition où on en profite pour souffler un peu après l’avalanche de combats des trois tomes précédents. L’occasion pour Mitsutoshi Shimabukuro d’introduire de nouveaux personnages comme le bras droit du boss de la Gourmet Corp Alfaro ou encore l’impressionnant Yosaku qui semble pouvoir guérir à peu près tout et n’importe quoi. Et n’oublions pas mami Setsuno qui semble être à l’heure aujourd’hui le personnage le plus puissant jamais rencontré dans le manga avec papy Jiro.
Elle met même à l’amende le redoutable Alfaro qui lui-même zigouille en deux secondes le Hellboros et le Parasite Empereur. D’ailleurs le sort cette dernière, et surtout son temps d’écran, est très décevant vu le nombre de chapitres où on avait été teasé sur sa puissance (c’est quand même l’arme ultime de Tommyrod). Mais que fi, à part cette déception, Toriko continue sur sa lancée et nous offre un bon tome comme c’est le cas depuis le début.
