C’est un nouveau départ, une nouvelle chance de recommencer à zéro et espérer à nouveau. D’autant plus que Abraham Ford a été clair : Washington est la clé pour éradiquer à jamais ce fléau zombie. Plus que ça, il y a des infrastructures solides et viables : de quoi permettre à tout le monde de repartir du bon pied. Mais alors que les espoirs se forment, une menace autrement plus sombre déploie ses griffes. Une menace qui, dans peu de temps, s’apprête à devenir réalité.
Encore un bon épisode pour The Walking Dead même si, inévitablement, un peu moins bon que l’épisode 01 cultissime. Déjà, les trois premiers quarts représentent un break (bien mérité) et l’occasion de s’attarder sur du character building. Daryl montre à Carol qu’il est là pour elle et qu’elle peut, elle aussi, prendre un nouveau départ. Sasha savoure son nouveau couple avec Bob. Et Tara en profite pour tout avouer à Maggie. Quant à Rick, il rattrape le temps perdu avec Judith.
Bref, l’humain prévaut et nous montre qu’il est encore possible d’espérer. Plutôt : il est toujours possible d’espérer. Car Rick et sa bande sont des survivants. Et les survivants sont forts. Puis vient ce fameux prêtre Gabriel. Le genre de personne auquel il ne faut jamais faire confiance : particulièrement quand on prend connaissance du message adressé à son encontre –> « Tu brûleras en Enfer pour ce que tu as fait ». Et il est possible que l’on découvre son vrai visage dès le prochain épisode puisqu’il il aura une occasion en or pour le montrer. En témoigne le terrifiant cliffhanger et la réapparition d’un ennemi qu’on attendait pas de sitôt (et pas de manière aussi horrible). Oui, Gareth est un monstre.
