La décision de Gōtetsu est irrévocable : Gōki doit quitter le dojo sur le champ. Le Satsui no Hado est en train de pourrir son corps et son esprit : il est devenu un danger pour ses proches. Qui plus est, l’ancien sensei de Gōki l’avertit : la prochaine fois que leurs chemins se croiseront, ce sera en tant qu’ennemis. Ha si seulement les choses avaient pris une autre tournure. Gōken aurait-il pu vraiment empêcher son frère d’emprunter une telle voie comme le lui reproche Sayaka ?
Comme c’est parti, Assassin’s Fist va devenir l’une de mes séries préférées. Le flashback Gōtetsu/Gōki/Gōken, sans oublier la belle Sayaka, est somptueux et on ne peut qu’être immergé dans les noirceurs que traversent Gōki pour devenir le Shin Oni. Tout comme sa relation avec Sayaka qui, oserais-je le dire, amène à penser que Ryu pourrait bel et bien être le fruit de cette union. MINDBLOWN. Les deux prochains épisodes risquent de faire monter la pression d’un cran.
