Daniel Lugo (Mark Wahlberg) en a marre de sa vie de coach pourri dans un club sportif rempli de pouffes qu’il ne peut pas troncher et de vieux dégueulasses qui, eux, tronchent ces mêmes pouffes parce qu’ils ont beaucoup d’argent. Il est temps pour Lugo de débusquer le pire de ses clients, antipathique au possible, et qui n’attend qu’une chose : être dépouillée de toute sa vie. Mais pour cela, il va lui falloir recruter l’assistance de pros de la combine : son poto Adrian Doorbal et un titan de muscles, Paul Doyle (Dwayne Johnson).
Surprise : même si No Pain No Gain n’est pas la panacée, il se permet, par contre, d’être le meilleur film de Mickael Bay. Ce qui n’était pas difficile au vu de sa filmographie médiocre et sans relief. Reste que, malgré d’innombrables longueurs et une réalisation lourdaude qui use et abuse des slow motion/effets chocs, la narration reste suffisamment survitaminée et le cast parvient aisément à convaincre dans leurs rôles d’imbéciles finis. Ajoutez à ça quelques blagues réussies et des situations ridicules au possible : vous obtenez un bon popcorn movie à déguster tranquilou entre amis.