Ça y est, Quinn est en train de subir les effets du gaz sarin. Et il sent qu’il va mourir. Il sent la mort s’emparer de chaque pore de sa peau. Et que risque t-il de se passer si ce même gaz est déployé dans tout Berlin ? Mettons, dans une gare ? Ce serait l’horreur. Pendant ce temps, Allison est en train de livrer à la CIA une version rocambolesque qui l’innocente totalement des accusations de « taupe russe » qui pèsent sur la tête. Sacrée Allison…
Ça doit être tellement frustrant pour Jonas et Laura de défendre la liberté individuelle d’un homme dont on est certain de la culpabilité et de ses affiliations avec les jihadistes. Puis cette attaque chimique sur Berlin…ça fait peur. Surtout lorsqu’on vit à une époque où ce genre d’acte terroriste est considéré comme « plausible » par l’ensemble des gouvernements occidentaux. Anyway, et à travers le client de Jonas/Laura ayant un lien avec les terroristes syriens, les scénaristes de Homeland sont parvenus tant bien que mal à relier l’intrigue du Berlin Gate à l’attaque chimique. Un peu maladroit mais soit, passons.
L’essentiel est que le fil rouge soit remis sur de bons rails et que l’intrigue redevienne palpitante comme aux premières heures. Et autant dire que la question de la survie de Quinn fut effectivement TRÈS angoissante pour peu que l’on apprécie un tant soi peu le personnage. Certes, le fait que Allison et Astrid tombent sur la bonne planque est abusé mais on s’en fout, Quinn est vivant \o/ Et ça fait plaisir <3 Si après ça, lui et Carrie ne finissent pas ensemble, je ne réponds PLUS DE RIEN. Plus qu’à déjouer l’attaque des fous de Dieu (⌐■_■)