Carrie l’a échappé belle. Alors qu’un sniper russe s’apprêtait à l’éliminer, Allison a compris qu’elle be représentait plus aucune menace. Du moins l’espère t-elle. Car Allison ne veut plus avoir du sang sur les mains. Parce que Allison arrive à sa limite. Pendant ce temps, Quinn, assumé par ses gentils « partenaires » terroristes, réalise leur véritable mission : attaquer Berlin à coups d’armes chimiques.
Je n’aurais pas pensé que Homeland puisse aborder le sujet des armes chimiques en Syrie au vu de leur récence dans le conflit syrien. Autrement dit : les soupçons pesant, entre le 23 décembre 2012 et le 21 août 2013, sur l’armée de Bachar el-Assa et son utilisation du gaz sarin sur des villages rebelles syriens. Sachant que Damas rejette la responsabilité sur les dits-rebelles. Les effets ? Inhumains. Violents maux de tête, nausées, écume qui sort de la bouche et du nez des victimes, suffocations, spasmes et pour finir, la mort. Voilà pourquoi les terroristes n’ont pas tué Quinn. Afin qu’il serve de cobaye et de propagande avant l’attaque finale sur Berlin. Heureusement qu’il tombe sur un « allié » n’ayant pas totalement perdu son humanité u_u
Anyway, qu’est-ce que cela fait plaisir de voir Allison passer en mode fugitive :3 Depuis le temps qu’elle se paye la tronche de Saul, Carrie et, hm, l’ensemble du FBI et de la CIA <_< Je retiendrais néanmoins ceci à son crédit : jusqu’au bout, Allison aura tenté de retourner la tête de tous ceux qui tentaient de s’approcher trop près de la vérité. De sa vérité. Mais revenons sur Quinn…damn, quel fils de chien ce docteur qui s’est fait passer pour son ami alors qu’il voulait juste le torturer à mort via du gaz sarin. Courage Quinn ! DON’T DIE ON US ! NOT NOW !!!