Sechs a sous estimé Zekka : et cela se solde par une défaite absolue. Du coté de Zazie, celle-ci a fort à faire contre les attaques tranchantes du pervers Rakan. Pourtant, tout est clair dans sa tête : elle maitrise le flux du combat et elle compte bien le tourner à son avantage. Enfin, le combat entre Gally et Toji atteint une dimension que personne n’aurait imaginé.
Notamment Toji qui, depuis le combat, se prête des compétences qui surpassent de loin celles d’avant. Mais que s’est-il donc passé ? Du coté de M’Badi, la conclusion est claire : il lui faut mettre un terme à ce combat car ses protagonistes représentent un trop gros danger. Et qu’importe que le public présent dans le stade y passe aussi : il est l’heure d’activer l’épée de Damoclès.
Comme d’habitude, on ne comprend pas grand chose à ce qui se passe dans ce tome. Enfin, dans les grandes lignes, oui, mais dès qu’il s’agit d’essayer de vraiment saisir le sens des évènements, tout devient confus. Heureusement que le tome est axé combat : d’autant plus que ce sont de belles joutes, entre tactique et risque calculé pour Zazie VS Rakan, et duel de titans entre Toji VS Zekka (qui n’était donc pas mort oui oui)
La fin de M’Baji était quant à elle attendue et, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’on ne le regrettera pas. Mais alors pas du tout tant son personnage était antipathique au possible. Tout le contraire de Vilma qui peut se targuer d’être l’un des persos les plus réussis de la saga Last Order. Dommage que Yukito Hishiro ne soit pas plus simple dans sa narration au lieu de compliquer inutilement la trame. Enfin, on arrive au moins à saisir où il veut aller. C’est déjà ça.