Sans le sou et sans diplôme, Gary (Tahar Rahim) cherche désespérément un emploi qui puisse l’aider à s’en sortir et à ne plus dépendre de sa famille. C’est pourquoi, lorsqu’il tombe sur une annonce de maintenance de centrales nucléaires, Gary n’hésite pas une seconde. Arrivé là-bas, il ne va pas tarder à s’amouracher de Karole (Léa Seydoux), la fiancée de Toni, un collègue de travail. C’est le début d’une descente aux enfers : entre contaminations radioactives et relation périlleuse.
Offrant une vision plutôt juste de la france profonde et du travail en centrale nucléaire, on se rend rapidement compte que Grand Central n’a pas grand chose de plus à nous proposer. Fil rouge faiblard et sans grand intérêt, on ne comprend pas vraiment cette histoire d’amour entre Karole et Gary : en partie parce qu’on a pas envie de la comprendre. Encore plus problématique, la cadence du film est très basse et on se retrouve souvent à regarder sa montre malgré les 1h30. Le casting a beau y croire, nous, on y croit pas. Et Tahar, épile toi le torse. Conseil d’ami.