Dexter est sous le choc : Evelyn connaissait depuis le début sa véritable identité et pour cause, c’est Harry lui-même qui est venu quérir son aide. Résultat : elle et lui ont mis au point le fameux « code ». Mais maintenant, c’est Evelyn qui a besoin de Dexter : le serial killer aux cerveaux lui envoie, pour chaque victime, la partie empathique qu’il extrait post-mortem. Du côté de Debbe, celle-ci s’enfonce de plus en plus vers le point de non-retour en tuant des malfaiteurs et entretient une relation tout sauf saine avec Dexter puisqu’elle continue à l’aimer…comme on aime une personne avec laquelle on a envie d’être intime.
Épisode un peu mou du genou mais qui se laisse néanmoins regarder. On en apprend davantage sur Evelyn qui semble se substituer de plus en plus au rôle de mère pour Dexter. Pourquoi pas. Et sa vision de Dexter, comme un mal nécessaire, est intéressante. Quant à Debra, j’ai bien peur qu’elle ne rencontre sa fin bien avant Dexter vu comme elle enchaine les bévues en tentant de se calquer à son psychopathe de frère. Quoiqu’il en soit, on continuera à déplorer l’inutilité totale des Battista et co qui ne sont pas foutus de soupçonner ne serait-ce qu’un tantinet Dexter/Debra. À croire qu’ils sont tous amnésiques.
