C’est un cauchemar : emprisonné dans une prison qui semble indestructible, Ichigo n’a d’autre choix que d’assister impuissant au massacre de ses camarades de combat. Et, effectivement, nos héros sont bien à mal contre des adversaires aux techniques redoutables. À commencer par Byakuya dont l’ennemi est parvenu à exploiter la seule faille qui lui soit resté de toutes ces années au combat.
Avec l’apparition de papy Genryûsai, ce 57ème tome de Bleach était obligé d’être bon. Et c’est bel et bien le cas étant donné la puissance de frappe absolument ahurissante du capitaine général des 13 divisions. Clairement, son combat contre le chef du Vandenreich est à sens unique et on comprend ici pourquoi Aizen ne souhaitait pas être en face-à-face contre lui. Il aurait perdu, tout simplement.
Par contre, déception pour le sort réservé à Byakuya tant il meurt (?) comme un moins que rien. Je veux dire, c’est même pas comme s’il offrait une prestation épique et tout…non, il meurt juste comme ça. Kubo est bizarre : il ne tue jamais ses personnages et, quand il le fait, il bâcle leur mort d’une manière tellement dégueulasse qu’on se demande à quoi il joue.
Souvenez-vous la mort de Gin : elle arrive tellement vite, alors qu’on découvrait à peine le personnage, qu’on se dit que Kubo devait le détester. Et encore, je ne parlerai pas de Tousen, le mec qui se transforme en mouche dégueulasse, pète un câble pour rien, et meurt comme un moins que rien. Non, franchement, Kubo a un gros problème avec le drama. Oui, il doit y en avoir, mais non, ça ne doit pas être fait n’importe comment. Bref, Papy Yamamoto rules.