Le combat continue entre Shinigamis et Fullbringers : dans le pétrin, Rukia s’est vu transformée en peluche contre Riruka et a dorénavant le plus grand mal à utiliser ses pouvoirs. Quant à Byakuya, sa joute conte Tsukishima lui permet de se découvrir un nouveau style de combat mêlant improvisation et goût pour la mise en danger. C’est Kenpachi qui va être content.
Du côté d’Ichigo et Uryuu, Ginjo leur donne beaucoup de fil à retordre puisqu’il a absorbé l’entièreté du reiatsu d’Ichigo…et dispose en outre de pouvoirs hollow. C’est donc dans une attente tout à fait naturelle que, lorsque Ichigo et Ginjo activent leur bankai, tout deux savent qu’il y aura au moins un mort à l’arrivée. La fin d’une ère s’approche pour laisser place au point final.
Tome sympathique bien qu’assez classique dans la mesure où tous les gentils parviennent à remporter leur combats mis à part Rukia qui se fait battre lamentablement par Riruka d’on ne sait quelle manière. Cette dernière est d’ailleurs la fullbringer plus réussie niveau psychologie : dommage que son pouvoir soit un peu naze. Quoiqu’il en soit, on espère la revoir bientôt avec Tsukishima, Moe et le geek.
La fin de Ginjo est quant à elle bien mis en scène même si on aurait aimé un peu plus de répondant de sa part : Ichigo allant, comme d’habitude, chercher un énième power-up lui permettant de sortir vainqueur. Au final, on se retrouve avec un arc Fullbringer en dents de scie : oscillant entre du correct et du ultra naze. Il ne reste maintenant plus qu’un seul arc avant la fin de Bleach. Espérons qu’il termine le manga sur une bonne note (qui en a bien besoin).
