Il faut impérativement que bébé Beelzebub ait son cadeau de Noël : c’est pourquoi Oga et Hilda doivent impérativement faire équipe et terrasser les autres couples en lice. Mais gare car, parmi ceux-ci, on trouvera Kanzaki/Hanazawa, Oomori/Furuichi et, surtout, le redoutable duo Izuma/Kunieda. Laquelle a son mot à dire dans le couple formé par Oga et Hildegarde…la guerre peut commencer.
Un tome toujours aussi sympathique à lire grâce à son humour sans faille…mais dédier tout un tome au concours de couples ? Est-ce raisonnable ? Surtout que j’ai appris récemment que la série se terminait au tome 28. Or, l’intrigue principale n’a pas vraiment évolué. On a à peine découvert les lieutenants de la division Behemoth et toujours pas une trace de Satan.
Puis ça serait bien que Tôjo serve à quelque chose quoi. Surtout que c’est l’occasion ou jamais avec la réouverture du lycée de cancres Ishiyama. De nouveau bad boys devraient ainsi faire leur apparition : sachant que la plupart semblent avoir bénéficié du power-up démoniaque hm. D’ailleurs, à quand une alliance Tôjo-En’o ? Ça serait juste hyper logique et Tôjo pourrait enfin rivaliser à armes égales avec ce cheater d’Olga.
Si l’auteur se ressaisit, il y a moyen de faire un dernier gros final arc avec tout ce qui fait le piment de Beelzebub : de la baston, de l’humour, de la badasserie et une histoire qui avance ENFIN. Si tous ces ingrédients sont réunis, alors il y aura matière de quoi faire. Surtout que la plupart des persos sont d’ores et déjà attachants mis à part Furuichi le pedo. Allez, on croise les doigts !