Incroyable : Furuichi vient d’aligner le grand Oga et s’apprête maintenant à en faire de même avec Kanzaki, Himekawa…et même Tôjô ?! Mais quel est donc son secret ? Ha ok, un paquet de mouchoirs démoniaques qui permet à Dégueuchi d’emprunter les pouvoirs des démons de la division Béhémoth. Revers de la médaille : son corps en prend un sacré coup. Mais pourquoi Pedoichi continue t-il alors de se battre ?
Bon petit tome de transition avec son lot d’humour et de bastons pour nous tenir éveillés. Par contre, ça m’agace vraiment que Tôjô ait été relégué au rang de faire-valoir et qu’il soit dorénavant clairement moins fort qu’Oga. Alors que ce n’était pas vraiment le cas il y a encore quelques tomes. J’espère vraiment que l’auteur redonnera à Tôjo l’attention qu’il mérite parce que là c’est pas ça.
Toujours an rang des blames, je me suis récemment rendu compte qu’il ne restait « que » 8 tomes avant la fin de Beelzebub. Il serait donc temps de faire avancer l’intrigue générale à grandes enjambées et arrêter de perdre du temps sur des arcs, certes sympas, mais terriblement H.S. Puis j’ai envie de voir Tôjô prendre En’o sous sa garde moi ._.
Mais bon…je sens que ça n’arrivera pas. Pour revenir au tome, on appréciera le gros focus mis sur Furuichi et sa relation avec Oga. De quoi apprécier encore plus le personnage qui, derrière ses allures de pédophile, recèle quelques qualités humaines. Pas assez pour rattraper tous ses vices mais bon, c’est déjà ça. Quant à la partie « Baston de couples », si elle démarre lentement, on finit par prendre plaisir à la suivre. Surtout que ça permet de voir ,grosso modo, qui finira avec qui huhu.
