L’heure de la bataille finale a sonné : Jabberwock VS Oga/Tôjo, que voilà un beau programme ! Mais est-ce que cela sera suffisant contre le commandant en chef de Béhémoth ? Alors que Oga s’est fait détruire il n’y a pas si longtemps que ça ? Mais l’heure n’est plus aux palabres, Hildegarde a besoin d’être secourue plus vite : il en va de la sauvegarde de ses souvenirs.
Le conflit terminé, nos héros réalisent que Oga a, encore une fois, détruit leur lycée qui venait à peine d’être reconstruit. Bon, c’est un peu de la faute à En’o aussi. Du coup, retour à la case départ avec re-squatage du lycée des saint-chevaliers. Et, cerise sur le gâteau, Hildegarde a bel et bien oublié tous ses souvenirs. Du coup, elle pense qu’elle est la mère de Beelzebub…et que Oga est son mari. Ça risque de faire des étincelles.
Assez bizarrement, la fin de l’arc contre Béhémoth est rapidement expédiée avec, en quelques chapitres, un combat Jabberwock VS Oga/Tôjo moins épique que prévu. Ce n’est pas une surprise, Oga y a la part belle même si Tôjo n’est heureusement pas loin derrière. Encore plus impressionnant, alors que Oga peut compter sur la puissance et le soutien de Beelzebub, sans compter la précieuse fiole de lait, Tôjo opère quant à lui en solo depuis le début.
Et pourtant, il vient au bout de 2 barons et tient tête à Jabberwock : qu’est-ce que ça va donner si, un jour, il hérite de la garde de En’o ? Je me demande si l’auteur y a pensé. Ca serait, dans tous les cas, un développement très intéressant pour l’un des personnages secondaires les plus importants avec Hildegarde et Kunieda…et Fuirichi dans un autre registre. Dommage ceci-dit que la fin de l’arc ne soit désespérément shonenesque : on en avait pas vraiment besoin. Heureusement, la transition avec Hildegarde se charge d’apporter la romance et l’humour nécessaire pour faire oublier ce mauvais point.
