Alors que Jin, accompagné de la petite Mika, est déterminé à retrouver ses nouveaux amis de l’autre coté de la porte D-3, les trois leaders de l’Area D se prépare à faire leur entrée. Les règles sont simples : il y a des appartements, des magasins, fichtre, même des écoles pour tous…mais il est impératif que les prisonniers intègrent le groupe de leur choix. Seulement voilà : Jin compte bien n’intégrer aucun groupe du tout.
De nouveau un bon tome pour Area D qui s’attarde, cette fois-ci, à mettre le focus sur le fonctionnement de la prison dans laquelle se retrouvent embarqués Jin et ses amis. Les trois chefs des différents groupes ont l’air assez sympa au premier abord : surtout celui qui arrive à anticiper tous les mouvements adverse. À voir comment leur relation avec Jin sera développée.
De même, les intentions de Jin se font un peu plus précises : celui-ci aurait décidé de retrouver son grand frère Rei Kazaragi. J’espère qu’on va pas avoir le syndrome « Sasuke/Itachi » -o- À part ça, le docteur et son assistante sont eux-aussi bien présentés et on a hâte de voir tout ce beau monde en mouvement. Et c’est là où Kyouichi Nanatasuki (le scénariste) va devoir se retrousser les manches.
Deux solutions : soit il nous pond une histoire sympa mais avec 0 risque et donc 0 drama et reposant, du coup, essentiellement sur le dessin de Yang Kyung-Il, soit il décide de faire d’Area D un manga d’exception et prend des risques en créant des émotions pour ensuite les mettre à mal via la mort d’un ou plusieurs persos. Il n’y a que comme ça que le lecteur se retrouvera pleinement immergé dans l’univers carcéral et violent d’Area D. Wait & see…
