Conséquence de la fermeture du gouvernement et de la répression policière face aux revendications des manifestants, une partie croissante d’entre eux a commencé à créer des groupes ayant pour unique but d’agresser les policiers sur place. Cocktails molotov, briques, jets de pierre : tout est bon pour montrer son mécontentement. L’occasion rêvée pour le premier ministre Tayyip Erdogan de comparer ce mouvement à un groupe de terroristes qui ne fait qu’entraver la bonne action du gouvernement et son projet d’aménagement urbain. La crise n’est pas prête de s’arrêter.
Place Taksim: Le mouvement se radicalise
