Cela fait plus de deux semaines que les terroristes de Boko Haram ont enlevé plus de 200 lycéennes et menacé de les vendre en tant qu’esclaves. Pourtant, l’ensemble des médias et gouvernements occidentaux n’ont réagi que maintenant. Une réaction sur le tard difficilement explicable. Surplus d’information ? Désintérêt de l’opinion de masse pour l’Afrique ?
Quoiqu’il en soit, le hashtag #BringBackOurGirls, relayé de people en people, est maintenant en passe d’atteindre les trois millions de tweets. Plus qu’à attendre une réaction efficace de l’armée nigérienne et une coordination rapide avec les experts envoyés par les pays occidentaux. En espérant que rien ne soit arrivé aux lycéennes.