Toujours embourbé dans un conflit qui n’en finit pas, la Syrie connait quotidiennement des attentats à la bombe mais il est rare que ceux-ci interviennent dans les quartiers gouvernementaux. C’est pourtant ce qu’il s’est passé à Mazzé alors que le premier ministre Waël al-Halaqi était directement visé.
S’il s’en est sorti indemne, l’un de ses gardes du corps en est mort tandis qu’un autre + son chauffeur sont dans un état grave. Coté international, il se pourrait que l’utilisation d’armes chimiques par le régime de Damas, si elle est pleinement avérée, ne déclenche enfin une intervention sur le terrain.