« Tu lis trop de manga, Kafka ! » s’amuse une Mina enfant. « Ne dis pas à ta mère ou la mienne que j’ai sorti cette réplique ! » répond l’intéressé embarrassé. La quote en question : « Chaque fois que tu auras peur, je serais à tes cotés ! ». Il n’empêche que Kafka y croit. Kafka y a toujours cru. « Et moi-aussi ». […] « Le Kaiju a été repéré à l’intérieur d’un hôpital… » annonce la capitaine Mina Ashiro à ses troupes. « Avant qu’il ne s’en prenne à des civils, nous devons le neutraliser ». « À vos ordres ! ». […] « Senpai ! » tente Reno Ichikawa. « Souriez à ce vieux monsieur pour qu’il n’ait plus peur ». Mais l’apparence kaijuesque de Kafka ne joue plus vraiment en sa faveur. Qui plus est, il ne contrôle pas sa nouvelle force. D’où un premier dommage aux infrastructures. Et un deuxième… « Je suis pas dans la mouise ! Tout le monde va me prendre pour un ennemi ! » s’exclame un Kafka à la croisée entre terreur et joie. Il faut dire que ce nouveau corps vient de le transformer en ce qu’il rêvait le plus de devenir. Ha, si seulement il était resté sous sa forme humaine.
Je sais pas si je voudrais d’un corps qui pisse par les tétons… Certes, on obtient une force et une résistance de folie mais au prix de bizarreries trop pesantes. Il n’empêche, quelle puissance de folie ! J’aime beaucoup la bande originale bien rock qui accompagne cette prise de conscience ! Au moins Kafka semble en mesure de regagner son apparence humaine plus ou moins à l’envie. En croisant les doigts pour que l’examen de la Troisième Division se passe bien. Les candidats au chara design travaillé seront sans aucun doute à surveiller. À commencer par cette insolente Kikoru Shinomiya. Mais quel instinct ! Elle a déjà réalisé que Kafka cachait un secret des plus intriguant. Vite, la suite ! Gageons que notre trentenaire saura prouver qu’il est un allié et non un ennemi ! Au passage, Kikoru le considère comme un vieil homme à seulement 32 ans… Qu’est-ce que je devrais dire moi avec mes 37 ans ?!!