Bon…la narutisation complète d’Obito était attendu mais, je sais pas, j’arrive quand même à aimer ce chapitre. Peut-être parce que, après tout, ça fait sens. Obito et Naruto étaient très semblables dans leur vision du nindo : l’un a tout simplement eu beaucoup moins de chance que l’autre. À savoir être né en période de guerre. Puis Kishimoto sait quand même mettre en scène un minimum quoi. C’est pas pour rien que Naruto fut, un temps, mon shonen préféré. En espérant que le cliffhanger ne s’essouffle pas dès la semaine prochaine.
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