Chapitre sympa au niveau de certaines planches mais damn, qu’est-ce que c’est linéaire, qu’est-ce que c’est prévisible ! La force de l’amitié aurait-elle encore triomphé ? Ça fait franchement tiep et, clairement, j’en attendais mieux de Naruto. Ou, plutôt, j’en aurais toujours attendu mieux mais Kishimoto a, à chaque occasion, prouvé qu’il n’avait pas les épaules pour supporter une bonne histoire, un respect de ses personnages, et une cohérence de son univers.
Il n’y a donc que certaines planches, dont celle de Kyubi enveloppé par le manteau de Susano, ainsi que les souvenirs d’Obito, qui sauvent ce chapitre. Même si cette volonté de Kishimoto à humaniser les actes des méchants peut parfois le desservir : dans le cas d’Obito, on pense avoir compris qu’il gardait une part de gentil en lui mais, par pitié, Kishimoto, fais-en un méchant digne de ce nom et créateur de drama cohérent et qui a sa place (pas comme un certain Neji). Ha la la…