John Chedester, vétéran de 65 ans, résidait dans une maison de retraite dans lequel il était pris en charge. Souffrant du diabète, d’une infection du sang et de problèmes cardiaques, John était entièrement dépendant du personnel chargé de son entretien. Sauf que voilà : vint un moment où l’homme n’arriva plus à payer ses factures. La réaction fut immédiate : John n’eut d’autre choix que de vivre dans un appartement non meublé, sans nourriture, sans médicaments, et sans téléphone.
Le lendemain, après qu’un voisin se soit inquiété de cette situation et ait prévenu la police, l’homme était admis aux urgences. « Une nuit de plus et on serait tombé sur son cadavre » a déclaré le shérif en charge de cette affaire. Une situation rarissime puisque, en temps normal, la couverture Medicaid aurait dû se charger de sa situation. Problème : souffrant de problèmes mentaux, Chedester n’a pas voulu signer les papiers.
Mais même en mettant ce détail ce coté, le staff du centre de retraite a eu une réaction particulièrement cruelle en abandonnant cet homme sans médicaments et sans nourriture alors qu’il pouvait à peine se déplacer d’une pièce à l’autre. Clairement : ce qu’ils ont fait revenait à abandonner cet homme à sa mort. Depuis, la justice est intervenue et John a été réadmis dans le même centre qui a dû écoper d’une amende de $5000.