Ça serait en tout cas l’objectif : à l’heure où la Russie se prépare à accueillir les prochains jeux Olympiques d’hiver à Sotchi, en février prochain, et où de nombreuses voies se sont élevées contre la répression autoritaire du régime de Poutine. De même, et outre les deux Pussy Riot et l’ex milliardaire Mikhaïl Khodorkosvki, le président russe compte abandonner les charges à l’égard d’un groupe de 30 militants Greenpeace pour avoir milité contre un navire pétrolier le 18 septembre dernier.
Mais même si cela reste une décision raisonnable et positive pour les concernés, cela n’empêchera pas à la Russie d’effacer sa réputation de régime oppressif et corrompu. Je ne citerai qu’un exemple parmi d’autre : la mise au ban de l’homosexualité par la législation russe. Sans compter les vives protestations d’une partie du peuple ukrainien à ne pas voir leur pays rejoindre ce qu’il considère comme une dictature pure et simple.