Face à ce que l’on peut appeler une « désillusion Française », de nombreux jeunes envisagent de partir faire leur vie à l’étranger. Quand ce n’est pas déjà fait. Les raisons sont multiples : entreprises qui ne les considèrent pas à leur juste valeur en les payant comme des manouches et en leur proposant un plan de carrière digne de Franprix, mentalité 100% individualiste, stress permanent (surtout à Paris), et j’en passe.
Sans compter les problématiques d’insécurité, d’accès au logement, et ce sentiment d’être totalement perdu par rapport à son avenir. Résultat : les rêves d’une vie se voient parfois sacrifiés au profit d’une conception plus réaliste et froide qui est de travailler pour survivre. Alors qu’à la base, la génération YZ est essentiellement connue pour son ambition.
Et que faire quand vous avez l’impression que votre pays ne vous soutient pas comme il se doit ? Vous tentez le voyage au Canada, en Australie, voire à Hong-Kong, au Japon et dans d’autres contrées où, peut-être, ces rêves là ne resteront pas vains. De là à anticiper les prémisses d’une révolte en plein Paris, on en est pas loin. Tant que chacun pourra manger convenablement et avoir un toit, il n’y aura jamais de soulèvement de grande ampleur. Moralité : n’hésitez pas à garder l’oeil ouverte sur toutes les possibilités qui s’offrent à vous. Que celles-ci soient à l’intérieur ou en dehors de la France.