« Tu ne seras pas suspendu, Troy » lui a annoncé son père, Dean Fairbanks, après qu’il eut brisé la vitre du Hancock Hall. Ha, le pouvoir d’être privilégié ! […] 1976 : Au grand dam de Henry Adams, docteur ayant tenté de justifier scientifiquement la suprématie blanche, des élèves noirs et asiatiques sont admis à Winchester. Parmi eux —> Walter Fairbanks. Un noir qui se sera battu jusqu’au bout pour parvenir au statut « suprême » —> Principal de Winchester ! Un héritage qui menace de s’écrouler suite aux actions récentes de son fils. Ceci-dit, ce n’est pas tout à fait nouveau. Dès que Troy Fairbanks est entré à Winchester, il n’a eu de cesse d’enchainer les conneries ! Avec ce bon à rien de Kurt Fletcher. « Je m’en fous ! Me voici enfin libre !!! Fini le statut de président de CORE ! Bonjour la carrière de One Man Show !!! ».
Beau focus sur ce cher Troy ! J’ai pensé qu’il allait perdurer dans sa looserie mais il s’est ressaisi ! Grâce aux conseils avisés de Reggie, Sam, Coco, Sorbet le chien et ce bon vieux Dean Fairbanks. Il s’agissait peut-être d’hallucinations mais qu’importe ! Depuis sa naissance, Dean n’a fait qu’être modelé par les autres en vue de répondre à leurs aspirations. Mais plus maintenant ! Réussira t-il sa carrière de One Man Show ? Peut-être. Une chose est sûre —> Troy n’a jamais eu sa place en tant que président de A-P. Coco fera un meilleur boulot car elle est faite pour ça. Surtout —> Elle VEUT faire ça. L’occasion de réaliser que les combats pour réaliser nos rêves ne sont pas monnaie courante. Même parmi nos générations, la « dure réalité » finit par s’imposer. À nous, dès lors, de trouver un job relativement bien payé. Plutôt que de s’acharner à réaliser de potentielles chimères. Et si une telle réalité est perceptible parmi ces enfants de riche, imaginez ce que ça doit être pour celles et ceux issus de la classe moyenne ! Enfin… Au moins avons-nous eu un minimum de chances. Pas comme d’autres nés dans les mauvais pays à la mauvaise époque. Go, Troy.
