Camp de migrants à Paris : @nk_m accuse Anne Hidalgo d’instrumentaliser le problème https://t.co/IRkIbMav9a
— France Info (@franceinfo) 1 juin 2016
Objectif : éviter les « camps sauvages » tels qu’on a pu en voir à Stalingrad ou au lycée Jean-Jaurès. Ce qui aurait pour effet de réduire les risques d’insalubrité des lieux en plus d’accroitre la sécurité des parisiens qui se plaignent des troubles à l’ordre public provoqué par certains des réfugiés. Pêle-mêle, citons les batailles de rue et autres agressions physiques/sexuelles. Accueillir les migrants en demande d’asile dans un cadre plus « serein » et humain permettrait ainsi d’éviter tous les désagréments qu’impliquent les campements de fortune.
Problème : une telle initiative risque de créer un appel d’air en convainquant davantage de migrants à faire route vers la capitale. Sachant que nous en sommes actuellement à 20/60 entrées de réfugiés par jour sur Paris. Afin d’éviter un tel scénario, que certains opposants politiques n’hésitent à qualifier de « Jungle de Calais bis », Anne Hidalgo espère avoir le concours de l’Etat en vue d’obtenir des autorisations de résidence en amont. Ce que le gouvernement semble pour le moment peu disposé à faire. Bref, si on pouvait avoir des constructions de centres d’hébergement pour nos SDF sachant qu’il n’y en a actuellement pas assez, ça serait pas mal non plus.