Depuis toujours, le Château d’Hozuki (Village Caché de L’Herbe) a servi de prison aux shinobi s’étant fourvoyé du droit chemin. Alors qu’est-ce que Boruto et Mitsuki font dans un tel endroit ? « La Prison Céleste scellera votre chakra » leur indique le directeur du fort, Seigneur Mui. « Vous ne pouvez plus utiliser de jutsu et serez brûlés si vous tentez de vous échapper ». Manifestement, l’un des détenus n’a pas pris cette information au sérieux et vient de se faire brûler. « C’est horrible » s’exclame Boruto. « La ferme, vermine ! » lui intime le lieutenant Benga en le tirant par les cheveux. C’est frustrant mais pour l’heure, Boruto va devoir prendre sur lui s’il souhaite obtenir des informations sur le Gang Mujina. Soit une organisation criminelle qui sème le chaos à travers le Pays du Feu. Qui plus est, personne n’est parvenu à identifier le leader. Qu’il s’agisse de son nom, de son âge ou des jutsu qu’il utilise. « Du moins jusqu’à ce qu’un certain Kokuri ne parvienne pas à s’exfiltrer du gang ». Or, le voilà désormais incarcéré au Château D’Hozuki ! « Il faut que nous entrions en contact avec lui ! Coûte que coûte ! ».
Je me disais bien que j’avais déjà vu Mui quelque part ! Il s’agit de l’antagoniste du 5e film Shippuden —> La Prison de Sang ! À l’époque, Naruto avait été injustement envoyé dans le Château d’Hozuki pour une tentative d’assassinat sur le raikage. Et l’assassinat de jounin de Kiri X Iwa. J’ignore pourquoi mais la fiche Wikia de Mui indique qu’il a été tué alors qu’il est indubitablement vivant. Les traits creusés et les cheveux grisonnants, certes, mais vivant ! C’est parce qu’il connait bien Naruto que Mui a accepté d’infiltrer Mitsuki et Boruto dans sa prison. Il faudrait que je revois ce film… Dans tous les cas, l’introduction du Gang Mujina, ennemi central du prochain arc canon de Boruto, est importante ! Manifestement, l’anime devrait s’arranger pour étendre habilement la version papier. Je me demande si ce Kokuri est digne de confiance… Et comment est-ce possible que l’assassin envoyé à sa rencontre l’ait loupé au point de lui érafler l’épaule ? C’est louche, tout ça. C’est louche !