Travail sous-payé, rythme infernal (8h du matin jusqu’à parfois 23h), et risques d’empoisonnement liés à la nature chimique des composants (notamment le Benzène). Sans oublier la dépression qui mine le travailleur chinois une fois qu’il réalise qu’il s’est fait exploité ou, pire, que son corps pourrait en porter les stigmates à tout jamais. Rien que le fait d’apprendre que l’un des anciens salariés s’est suicidé six semaines après son interview veut tout dire. Si cette vidéo vous a interpellé, n’hésitez pas à signer la pétition militant pour l’interdiction du benzène dans les chaines de production des iPhone/Galaxy.
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