Frank Van Den Bleeken, 52 ans, est en prison depuis 30 ans pour avoir violé plusieurs femmes dont une qu’il a tué. Affirmant être en proie à des « souffrances psychiques insupportables », le violeur/meurtrier a demandé à être euthanasié. Ainsi, il se considère lui-même comme un danger pour la société et déclare qu’il ne peut pas être être remis en liberté (merci on l’avait deviné). Son souhait lui sera donc accordé dans les jours qui suivent.
Que dire si ce n’est certainement pas moi qui pleurerai sa mort. D’autant plus que je considère que les violeurs et tueurs de sang froid devraient être respectivement castrés et euthanasiés. Oui, je ne suis pas très partisan de la réinsertion sociale ou du concept de « deuxième chance ». Pour la simple raison que la victime, elle, n’a jamais de deuxième chance. Quoiqu’il en soit, il serait temps que cette pratique se généralise dans des pays autres que la Belgique.
Via l’euthanasie de ce genre de criminel, la société se débarrasse d’un fardeau. Que ce soit en termes d’actes commis, de justice morale vis-à-vis des victimes, ou, plus concrètement, en termes de dépenses (les impôts des Belges ne paieront plus pour l’entretien de ce violeur/tueur). Je sais que mes propos en choqueront certains mais, pour traiter de l’actualité et son lot d’injustices au quotidien, c’est bel et bien ce en quoi je crois.