Là, dit comme ça, ça fait peur. Et pourtant, le morceau tombe sous le sens et s’inscrit parfaitement dans l’actualité en dénonçant le cyber-harcèlement. Une fille qui a eu le malheur d’envoyer une photo osée à la mauvaise personne, un garçon qui a eu le malheur d’affirmer son homosexualité, une nekomination qui fait encore une victime…et au bout du compte, des insultes, des mises à tabac, des dépressions, voire parfois des suicides. Bref, bonne initiative de M. Bruel (par ailleurs excellent acteur de théâtre -o-).
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