Il y a quatre ans de ça, au tournoi des Arts Martiaux de Corée du Sud, Park Ilpyo avait dû répondre à une question existentielle de la part de son amie, Seungyeon. « Pourquoi je me bats ? » s’interroge t-il. « Oui… Pourquoi vouloir sans cesse devenir plus fort ? ». « Parce que j’ai fait la promesse de me battre à quelqu’un qui m’est cher ». « Je vois… » sourit Seungyeon. « Alors ne perds pas, dans ce cas ! ». Peu de temps après, la jeune fille sera vaincue par Jegal Taek qui, par choix, lui brisera une jambe. Ce qui mit fin à sa carrière. À cet instant, Park perdit le contrôle et finit par retrouver Jegal. « Excuse-toi ! Excuse-toi ! Excuse-toi !!! » hurle t-il tout en tabassant son adversaire. Encore et encore et encore. « Si la police ne m’avait pas arrêté… » réalise t-il. « Je l’aurais tué ». De là, la haine continua de se diffuser et une rancoeur tenace s’insinua au coeur des deux hommes. « Qu’importe… » se dit Ilpyo alors qu’il s’apprête à affronter l’Équipe de Séoul. « Je le détruirai de bout en bout pour ce qu’il a fait à Seungyeon ». Car celui qui a jeté la première pierre est et restera le premier fautif.
J’ai beaucoup aimé l’état d’esprit de Park Seungah ! Alors qu’elle affrontait un Han Daewi bien au-dessus d’elle en termes de capacités (sans omettre son début de Charyeok). Tout comme Seungyeon qui a voulu se battre jusqu’au bout, Seungah en a fait de même. « Les arts martiaux sont ma vie… Voilà pourquoi je me bats ! ». Qui plus, Park Illpyo ne s’est-il pas lui-même démené contre Jin jusqu’à ce que son corps ne réponde plus ? Tout en le coachant afin de le rendre encore plus puissant qu’il ne l’était avant ce duel. De fait, j’ai vraiment cru que la victoire était acquise à Jin… Mais non ! Le Charyeok de Ilpyo, Kyubi (Renard aux Neuf Queues) promet d’être redoutable ! Au point de me faire douter de la victoire de notre héros, ahah. À moins que lui-aussi ne s’éveille à son Charyeok ? Quoiqu’il en soit, la réalisation Sakuga fut formidable ! Entre les deux duels et cette riposte des Six contre l’attaque « divine » de Nox… Puis quelle bande originale ! Impétueuse au possible. Mappa nous a régalé !