[Replay #LGDM] Cristina Cordula se prononce en faveur du port de la fourrure https://t.co/znzAH3dIAR
— Le Grand Direct (@LGDM_Officiel) 18 Février 2016
Aie, aie, aie, ma chérie… Si c’est pour sortir des conneries aussi énormes, autant botter en touche et recentrer le sujet sur tes émissions de shopping ._. Mais comment peut-on avoir de tels propos ? Dépecer des animaux pour leur fourrure serait acceptable à partir du moment où il s’agit d’animaux d’élevage ? Par contre, s’ils sont domestiqués, là, rien ne va plus ! Sur quelle planète vit Cristina ? Essaye t-elle de s’accaparer une semi-conscience en se disant que seuls les animaux domestiques sont dotés d’une âme et ressentent les émotions (douleur incluse) ?
Affligeant de bêtise. Pourtant, j’ai appris à prendre beaucoup de distance avec les défenseurs de la fourrure car ils sont nombreux. Le nombre d’amis et de connaissances que j’ai et qui portent une fourrure en renard ou faite de poils de lapin sans le moindre état d’âme ._. Mais de là à le revendiquer publiquement alors qu’on fait tout pour sensibiliser les consciences du fait que dépecer vivant un animal, ce n’est pas très bien… Non, quoi. D’autant plus si c’est pour faire une distinction débile entre animaux d’élevage (soit destinés au dépeçage) et les autres. Nous avons encore un long chemin à faire.
Sur le fond, elle a raison. Cela n’est pas plus perturbant d’élever des animaux pour leur viande que pour leur fourrure. Ils sont évidemment élevés et tués dans les mêmes conditions, pour le simple plaisir humain. Que les végétariens (et autres) soient outrés c’est compréhensible, mais les gens qui mangent de la viande… c’est compréhensible aussi. Mais un peu moins.
Et les fourrures d’animaux protégés ? Où bien les renards, les crocodiles et compagnie ? Certaines fourrures porter par c’est petit bourge qui ne savent plus comment dépenser leurs argents porte encore la tête de l’animal … Certains animaux ne sont pas tuer pour être mangé en même temps que leurs fourrures. C’est honteux et de toute façon cette femme me tape sur les nerfs rien que ça façon de parlé me gonfle. Si on essayer la fourrures humaines pour changé … aussi choquant que les animaux. Et puis ils ne sont pas du tout abattue de la même maniere suffit de regardé quelque vidéo sur internet pour ce rendre compte de la barbarie de l’acte.
Les animaux protégés c’est autre chose, elle a bien dit d’élevage.
Cherchez bien, vous devriez trouver les conditions d’élevage et d’abattage qui vous ôteraient l’envie de manger du jambon/steak/nuggets.
Pour ceux qui mangent des œufs par exemple, les industriels se séparent des poussins mâles (qui n’en pondent pas…) en les jetant dans des broyeuses mécaniques par exemple. Vivants. Parfois gazés ou étouffés.
Mais je suis d’accord, tout ce qui fait souffrir les animaux est à bannir. C’est juste que certains feraient mieux de se renseigner sur leur propres pratiques éthique avant de crier au scandale.
Merci Bapst’ pour ta lucidité.
Mon commentaire vise à compléter le tien (pour pas qu’on me reproche de ne parler que d’un seul aspect)
Et avant toute chose, je tiens à préciser que j’étais plutôt contre la fourrure il y a un an. Je ne dis pas que je suis 100% pour aujourd’hui : tout dépend d’où elle vient et dans quelles conditions ont été élevés les animaux.
Ce qui m’a fait plus ou moins changer d’avis ? Mon Erasmus en Pologne et la visite d’exploitations où des visons et renards étaient élevés pour la fourrure.
La première exploitation ne comprenait que des visons, et je peux vous assurer qu’ils étaient très bien traités, avaient une très belle vie et une très belle mort (par monoxyde de carbone, je pense que beaucoup d’animaux d’élevage n’ont pas cette chance). La viande était vendue à des industries alimentaires pour animaux de compagnie. Rien n’était perdu! Et je vous passe le paragraphe sur les très nombreux emplois créés sur le territoire…!
La deuxième exploitation était spécialisée dans les renards (et pas les renards roux de nos contrées : c’étaient des renards polaires, des gris et des noirs). Les installations étaient vétustes (datant des années 70) et je n’ai pas vraiment apprécié le rapport qu’avait l’éleveur avec ses renards.
De ce fait, on ne peut pas faire une généralité : tout comme les élevages traditionnels, certains traitent bien leurs animaux, d’autres moins!