La triste affaire s’est passée dans le 8ème arrondissement, au 55 avenue de la Grande armée, et cela en pleine Saint-Valentin. La victime était une femme de 41 ans, gérante d’un bar-restaurant nommé l’Aiglon, et morte suite à trois coups de feu portés par son ex-mari. Sachant que ce dernier était déjà connu des services de police pour des violences conjugales. Quand fera t-on en sorte de lier les deux ?
Quand admettra t-on que, lorsqu’un mari est connu pour plusieurs histoires de violences envers sa femme, il y a un risque que cela dégénère en meurtre ? Maintenant, la victime laisse quatre enfants derrière elle et la seule chose qu’on puisse espérer est que le meurtrier écope d’une peine extrêmement sévère. Sachant que, en la matière, notre justice est réputée pour son laxisme probant. Nos pensées à la victime, à ses quatre enfants, et à toute sa famille.