Ça y est, Toriko et Komatsu sont face au plus grand coutelier au monde : Merck. Mais, rapidement, Toriko sent qu’il ne s’agit pas du véritable Merck. Que s’est-il passé ? Pourquoi cette personne se fait-elle passer pour ce qu’elle n’est pas, malgré son talent indéniable ? Peut-être est-il temps de laisser parler les poings.
Car il faut que Toriko soit bel et bien certain d’avoir en face de lui le véritable Merck : le condiment qu’il recherche, la précieuse poudre d’étoiles, n’étant nul autre que le condiment le plus rare au monde. Et pour cause : c’est ce même condiment qui a été utilisé pour concevoir Air, la salade ultime d’Acacia le dieu gourmet. Pendant ce temps, loin de là, un danger public s’apprête à être libéré de prison.
Comme d’habitude, très bon tome de Toriko qui, tout en prenant son temps, nous fait partager sans cesse de nouvelles découvertes. Dommage que Komatsu soit aussi irritable à chialer tout le temps mais, à part ça, c’est vrai qu’il a du potentiel le petit. Quant à Toriko, on appréciera son évolution par palliers qui rend, du coup, le personnage plus appréciable dans ses combats.
Le power-up ne semble pas sorti de n’importe où et, surtout, Toriko n’est pas invincible. Certains auteurs shonen devraient en prendre de la graine hm. Quant au rythme, celui-ci s’avère toujours aussi furieusement cadencé. Une fois qu’on commence, difficile de s’arrêter avant la fin. D’autant plus lorsqu’on apprend que, ENFIN, Zebra va faire son apparition. Plus de 10 tomes qu’on l’attendait !