Carrie a eu beau avoir fait tout ce qu’on lui demandait de faire : la CIA semble résolue à ne plus jamais lui laisser l’opportunité de revoir la lumière du jour. Au fin fond du trou, dans cet hôpital pour fous, Carrie est alors contactée par un mystérieux avocat travaillant pour un client qui souhaiterait profiter de ses connaissances. Refus net de Carrie : jamais elle ne travaillera pour l’ennemi, qu’importe que les siens l’aient abandonné.
Whoa, I didn’t see it coming. Le cliffhanger fait sens mais reste tout de même incroyablement alambiqué et casse gueule. Mais pourquoi pas, nous sommes dans une série, pas dans la réalité. Voilà qui justifie en tout cas le comportement de total connard qu’avait Saul depuis quelques épisodes : ce qui, rétrospectivement, ne tenait pas vraiment la route. Alors que je commençais à avoir peur que la partie latino-américaine de Brody ne finisse par bazarder l’intrigue, il n’en est, pour l’instant, rien. À voir par contre où va la plot line avec Dana et Leo qui, pour le coup, semble beaucoup plus hasardeuse.