Zaraki affaibli par son combat contre Gremmy, les forces Stern Ritter Quincy sur place, menées par l’impétueuse Candice Catnipp, compte bien s’en débarrasser une bonne fois pour toute. Seulement voilà, un nouvel arrivant vient de débarquer et il s’agit, à l’instar de Kenpachi, d’une des FMS (Forces Militaires Spéciales) ou « War Potentials ». Soit ces individus qui, à eux-seuls, sont capables de bouleverser le plan de guerre mis en place par Yhwach. « Tss, je n’aurais jamais pensé avoir un jour besoin de toi, Ichigo Kurosaki ».
Autant le tome précédent était sympa, autant celui-ci est vraiment « meh ». À savoir qu’on a l’impression qu’il se ne se passe rien et que Kubo tombe, à nouveau, dans ses travers de remplissage de vide par du vide. De fait, et s’il l’avait vraiment voulu, tous les évènements de ce tome auraient pu être condensés en trois chapitres au lieu de 10. Pourquoi passer autant de temps sur le clash Ichigo VS Candice alors que celle-ci n’est qu’une subalterne random ?
C’est tellement grillé que ça en devient gênant <_< Mais bon, si Môssieur Kubo insiste à foutre son rythme en l’air, pourquoi pas ! Quant au reste, j’avoue n’avoir été happé par aucun des combats : qu’il s’agisse de la mini-joute entre la team Byakuya VS Team Stern Ritter ou de l’apéritif Ichigo VS Ishida qui manquait cruellement d’impact. Et pour cause, on sait pertinemment que Uryû n’a PAS trahi ses camarades et finira, tôt ou tard, par rejoindre le camp des gentils.
Reste le combat principal de ce tome 65 : à savoir Ikkaku/Yumichika VS la créatrice de zombies trans (oui…) Giselle Gewelle. Affrontement qui tourne court puisque nos comparses de la division 11 cèdent vite le pas à l’un de mes capitaines préférés —> Mayuri Kurotsuchi \o/ Seulement voilà, ce n’est pas lui qui combat…mais quatre arrancars ressuscités par ses soins ._. Et là, rebelotte, je n’ai pas accroché : surtout qu’il s’agit d’arrancars tout à fait random. À voir si le cliffhanger de fin, aka Hitsugaya zombifié (wtf ?!), se charge de renouer avec l’intérêt des lecteurs.