Il est temps de mettre un terme aux ambitions de la firme Salomon. Or, pour cela, quoi de mieux que d’aller directement à leur siège sociale…aux États-Unis ?! Mais est-ce que tout se passera bien là-bas ? Après tout, la mère de Baby Beel, Airis, y es présente…soit la femme qui a fuit ses responsabilités en l’abandonnant face à lui-même. « Il est temps d’aller lui tirer les oreilles, t’es pas d’accord Baby Beel ? », « Yah !! ».
La première moitié de ce tome est la pire phase de Beelzebub depuis sa création. D’autant plus quand on réalise qu’il ne reste plus que deux tomes et que l’auteur, Ryuhei Tamura, gaspille AUTANT de chapitres dans du vide. Je veux bien sur parler de ce road trip ignoble, totalement hors propos, lourd et de mauvais goût (les blagues scato ça va deux secondes) qu’on se tape sur cinq chapitres de suite. CINQ CHAPITRES. Ça m’a rendu fou tellement j’avais l’impression d’assister à un arc filler.
Entre les clichés américains, les persos osef qui parlent en anglais, le combat H.S. dans une vieille usine désaffectée…j’avais du mal à en croire mes yeux tellement c’était médiocre. Heureusement, le cauchemar finit par se terminer une fois arrivé à la rencontre entre Airis et son fils Baby Beel. Même si l’explication de son absence est d’une bêtise rare xD Cela étant dit, on en avait déjà eu la confirmation, dans le premier tome, que Beelzebub 3e du nom était un peu benêt.
Ils se sont bien trouvés ces deux-là ! Et donc il semblerait que la firme Salomon lui ait menti en prétextant qu’ils l’aideraient à faire de son fils un « Grand Démon Respectable ». De fait, ils avaient simplement besoin de son pouvoir pour maitriser les sept princes de l’enfer…dont Satan et Beelzebub troisième du nom. Sachant que Satan soutient directement Fuji qu’on aperçoit ENFIN à la fin du tome ! Et il semblerait que Tôjô soit finalement destiné à avoir un rôle intéressant…soit la formation d’un binôme avec En’ô ? Allez là !