Le combat entre Ikki et Sora Takeuchi est en train d’atteindre son paroxysme tandis que Ringo fait tout son possible pour que Rika redevienne la grande soeur aimante et bienveillante qu’elle était avant. Mais Sora est déterminé à tout pour accomplir son rêve et cela inclut mettre la vie de Rika en danger.
Et alors que tout semblait vain, Ringo active sa botte secrète : les Regalia des tempêtes ! La partie prend dès lors une nouvelle tournure alors que Sora se rend compte petit à petit de la supériorité d’Ikki. Car contrairement à lui, Ikki s’est construit via les plumes de tous ses amis : avantage qu’il entend bien montrer à celui qui a toujours représenté son modèle dans la vie.
Il ne fallait pas s’attendre à un miracle : Air Gear finit dans le n’importe quoi extrême, entre morts cybernétiques et déformations de l’espace-temps, comme cela a été le cas depuis déjà plus d’une vingtaine de tomes. Du début à la fin, on ne comprend rien à tout ces power-up sortis d’on ne sait où et on se contente d’admirer la plume de l’auteur qui, quoiqu’on en dise, fait partie des meilleures de sa génération.
Il faudrait vraiment qu’Oh Great prenne sur son ego et délègue la partie histoire à un scénariste reconnu parce que là c’est juste n’importe quoi et c’est vraiment dommage de voir toutes les séries de l’auteur se finir en eau de boudin (remember Tenjou Tenge aka Enfer & Paradis). Au moins sa passion se ressentira t-elle dans ce chant du cygne, à défaut de la moindre cohérence.