Ce clown est assez… terrifiant ! Déjà, c’est un clown. Mais, en plus de ça, il semblerait que sa puissance soit dangereusement exponentielle. De manière similaire à Phoenix Man dont la force résidait dans son costume et sa croyance envers laquelle son costume le rendait invisible. Capable de renaitre de ses cendres encore plus fort chaque fois qu’il est défait. Dans le cas de Pesky Clown, actuellement de niveau Tigre (soit rien de menaçant pour Sweet Mask), ses trois ballons semblent représenter ses trois vies. Sweet Mask est parvenu à en détruire un mais le Clown évolue tellement vite qu’il est d’ores et déjà en capacité de parer l’un de ses coups. Pire, là où la puissance de Phoenix Man reposait dans sa croyance en son costume, celle de Pesky Clown semble émaner de l’attention du public. Et, hélas pour Sweet Mask, sa popularité est telle que les civils croient qu’il s’agit d’un tournage de film. Oui, les citoyens sont débiles. Il a beau leur dire d’évacuer les lieux, ces derniers sont convaincus que c’est de l’acting. Ce qui ne faire que rendre la tâche de Sweet Mask bien plus compliqué que prévu.
D’un point de vue dessin, rien à dire. Tout est fluide et inspiré ! Murata-san est à nouveau en forme et cela fait plaisir à voir. Hâte de voir comment Sweet, star mondiale, va parvenir à vaincre un monstre qui se nourrit de l’attention du public. Décidément, il ne cesse d’avoir les pires match-up, ahah. On notera, autrement, la présence de l’ancien squad privé de Narinki ! Ça fait plaisir de voir qu’ils sont parvenus à se reconvertir en surveillants d’un parc d’attraction. Hélas, Pesky Clown est bien trop dangereux pour eux. Si seulement Saitama n’avait pas quitté les lieux. Peut-être va t-il revenir ? Ou peut-être que Sweet Mask va parvenir à s’en sortir seul. Il ne lui reste que deux bâtons à éclater et, pour l’heure, le danger n’a pas atteint le stade démon. A t-il le potentiel d’être de type dragon ? Auquel cas, Sweet Mask est probablement fichu.
