La Casa de Papel S01E07 : Ordre et Harmonie

Ibiza 1992

Ibiza 1992

Raquel Murillo aurait aimé dormir toute la nuit. Mais ce n’est pas possible. « Mlle Murillo ? Nous avons trouvé quelque chose sur les vidéosurveillance du musée » l’informe le sergent Suarez. « J’arrive ». […] Dimanche, 8h35 : « Désolé pour hier. J’avais bu. Je n’avais pas dormi pendant 48 heures et… ». « Angel, ne t’inquiètes pas. Tout va bien, ok ? ». Sur ce, il est temps d’étudier les vidéos. Sachant que 46 heures se sont écoulée depuis le braquage de la Fabrique Nationale. « Ce que cette jeune femme a déposé sur le plateau avant d’entrer dans le musée, ce sont des clefs de voiture. Une Ibiza 1992 ! Ratissez la zone. Vérifiez les caméras de parking, des commerces, des banques ! Jusqu’à la retrouver !!! ». Et alors que Le Professeur écoute toute la conversation, celui-ci réalise qu’il va falloir agir. Et vite !

Ibiza 1992

Bon épisode malgré quelques facilités scénaristiques ! Lesquelles permettent au professeur d’effacer les preuves présentes sur la Ibiza 1992. Son premier essai se solde par un Epic Fail à la limite des Looney Toons . Où il se fait martyriser par un fou dans son broyeur avant d’être poursuivi par un molosse… La deuxième tentative est plus fructueuse et permet de montrer que Le Professeur est prêt à tout pour mener à bien son plan. En se faisant passer pour un clochard tellement à l’ouest qu’il se pisse dessus à la vue d’un policier. Et ça marche ! Il s’en est fallu de peu pour que Raquel reprenne la main . Mais grâce à cette excursion sauvage et la diffusion de la conversation dans laquelle Raquel demande la libération de Alison contre 8 otages, Le Professeur conserve le leadership. L’opinion publique est à nouveau de leur coté.

Ibiza 1992

Mieux que ça —> Le Prof s’apprête à appliquer les conseils de Berlin à la lettre ! En punissant ceux qui ont enfreint les règles… À commencer par Berlin ! Lequel a, pour rappel, ordonné l’exécution de Monica Gaztambide. Nul doute que son bouton de chemise placé dans la Ibiza 1992 constituera une sacrée punition. D’ailleurs, en parlant de Berlin, on constate à nouveau qu’il fait un sacré méchant ! Aucune empathie, porté sur la perversion et la manipulation des « esprits faibles ». Adorant exploiter les failles de l’autre. Le tout incarné par un Pedro Alonso au charisme certain. Ça contraste avec les performances d’autres acteurs moins rodés tels que Miguel Herran (Rio) ou Ursula Corbero (Tokyo). Il faut dire que l’écriture de leurs personnages n’aide pas. Entre mièvrerie sentimentale et décisions d’abrutis finis… Même le flashback sur la douleur de Tokyo eu égard à sa mère ne m’a pas convaincu. À voir si cela évoluera par la suite.

Ibiza 1992

7/10

Fondateur de YZGeneration, YummyZ, Ikke et Bang. Alter ego de Fafa Le Geek.

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