Moooh ! Okazaki Teru ne deviendra pas Champion de Boxe, certes, mais il deviendra peut-être un illustre mangaka ! Aux coté de l’imparable Umezawa Masahiko. Déjà dépassé par son disciple, ahahah. Il faut dire que le jeune Okazaki (15 ans) est très doué en dessin ! Ippo a eu de l’oeil, finalement… Ce qui va suivre est évident —> Taihei, le bully de Okazaki Teru, sera le nouveau membre du Club Kamogawa ! Même s’il lui faudra faire amende honorable en s’excusant de son comportement auprès du pauvre Okazaki. Manifestement, c’est bien Taihei qui est craint de tous les élèves dans son lycée. Allez savoir pourquoi. Peut-être agit-il non pas par « ennui », comme l’envisage Ippo, mais pour une raison plus sérieuse. Maltraitance familiale, peut-être ? Certains bully sont ainsi parce qu’ils s’ennuient et/ou veulent s’amuser (bonjour le manque d’empathie ). D’autres le sont parce qu’ils sont eux-même bullied (harcelés) par d’autres personnes de leur entourage. Le cercle vicieux, en quelque sorte.
J’ai l’impression que George Morikawa a profité de ce chapitre pour délivrer son point de vue sur l’harcèlement à l’école. « Quoiqu’on fasse, qu’importe l’époque, ça continuera ». L’essentiel est d’agir à sa façon. Ippo n’a pas pu se la jouer Takamura et intervenir physiquement. Parce qu’il n’est pas de cette nature. Du coup, il s’est excusé… Mais au moins cela a t-il permis au petit Okazaki Teru d’être tranquille ! C’est dingue de réaliser à quel point le bullying fait mal. Jusqu’à parfois pousser les enfants et adolescents visés à mettre fin à leurs jours. Le Japon est loin d’échapper au phénomène. Bien au contraire —> La pression sociale, qui pousse les parents à faire de leurs enfants de véritables machines, empire les choses. Il n’y a que dans certains pays nordiques, avec le développements de cours d’empathie et l’éloignement du système des classements par notes, que le bullying semble être contenu à minima. Enfin… Espérons que Okazaki Teru a trouvé sa vocation ! Mais il n’a pas intérêt à faire l’école buissonnière pour autant ! Non mais…
