Peu d’informations ont filtré deux jours après le grave accident de Jules Bianchi au grand prix F1 de Suzuka. De fait, on sait que son état est « critique mais stable », qu’il continue à être en soins intensifs, et qu’il souffre d’une lésion axonale diffuse : soit une blessure très grave provoquée par un violent choc au cerveau. Ce qui fait que la région cérébrale souffre, entre autre, de petites hémorragies : chose évidemment très grave.
Moi, ce que j’ai du mal à comprendre dans toute cette histoire, c’est comment il a été possible d’autoriser un grand prix de Formule 1 sous des conditions météorologiques aussi catastrophiques (le typhon Phanfone approchait à grands pas). Et ce n’est pas la première fois que j’entends parler de ce genre de décision invraisemblable qui est de privilégier la course aux vies humaines. Ça aurait vraiment été catastrophique si le Grand Prix avait été reporté à une autre date ? En espérant que Jules s’en sorte sans séquelles. Mes pensées à sa famille.