Les proches des disparus sont formels : la sonnerie de leurs portables continue de retentir lorsqu’ils tentent de passer un appel. Ce qui voudrait dire que ces téléphones n’ont pas été détruits et se situent autre part qu’en pleine mer ? Peu probable. Le problème, c’est qu’aucune hypothèse ne l’est alors que cela va faire plus de 72 heures que l’avion a disparu de la surface de la terre.
Le fuel ? Celui-ci n’appartenait pas au Boeing disparu. Le radeau retrouvé ? Fausse alerte. Attaque terroriste ? Aucune revendication, ni aucune preuve, n’ont été faites malgré la présence de quatre suspects à bord. Explosion en plein vol ? Très peu probable vu qu’il n’y avait aucune turbulence et que l’engin se situait dans la zone la plus sure de son vol. Ajoutez à cela le fait qu’aucun débris n’a été retrouvé malgré la couverture internationale massive, et vous obtenez un accident sans précédent dans l’histoire de l’aviation.