Ça y est : Allen est officiellement considéré comme un ennemi de la Congrégation puisqu’abritant la conscience du 14ème, petit frère du père d’Allen : Mana Walker. C’est d’ailleurs pourquoi Apocryphos, une forme indépendante de l’innocence, cherche par tous les moyens de fusionner avec lui et supprimer par là-même toute rémanence du 14ème.
Mais alors qu’Allen retourne se cacher auprès de ce qui fut son ancienne maison d’accueil, un autre protagoniste important de l’histoire fait son apparition en vue de s’acquitter de sa dette : Yû Kanda. Reprenant possession de Mugen, celui-ce se lance de suite à la poursuite de son vieil ennemi aux côtés de Johnny Gill ayant déposé sa démission. Mais notre duo est loin de d’imaginer l’horreur dans laquelle ils se sont empêtrés.
Bon tome de Katsura Koshino qui a eu la très bonne idée d’insérer un flashback sur l’enfance d’Allen et l’accident qui lui défigura une partie du visage. C’est à partir de ce moment que Cross Marian devint son tuteur et s’employa à transformer le petit garçon traumatisé en exorciste puissant et déterminé. L’occasion de considérer une nouvelle fois le dur passé d’Allen qui, en la matière, fait clairement partie des passifs les plus lourds de l’ensemble des héros du shonen puisqu’on parle quand même d’une déformation du visage.
À part ça, c’est avec grand plaisir que nous accueillons le retour de Kanda qui, clairement, ne méritait pas de mourir comme cela. Son ami Alma Karma a donc fini par mourir dans ses bras et Kanda a pardonné à son ancien tuteur : Zù Mei Chan, responsable des expériences commises sur les exorcistes de 2ème génération. On repart donc de zéro, avec des baises plutôt saines pour l’instant, et en espérant que l’auteur parvienne cette fois-ci à adopter une narration claire de A à Z.
