Au moins deux médecins sur neuf auraient avoué pratiquer des avortements à la demande des parents car ceux-ci n’étaient pas satisfaits du sexe de l’enfant. Sachant que, dans la plupart des cas, c’est le fait que l’enfant soit une fille qui motive cette décision. C’est donc une nouvelle forme de débat qui s’ouvre en Grande-Bretagne mais aussi en Europe : un avortement doit-il être fait de manière unilatérale et non discriminante ou, au contraire, peut-il s’affiner pour correspondre au désir d’avoir soit une fille, soit un garçon ? Le climat risque d’être houleux.
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