Et le voilà, le chapitre tant attendu sur Zombieman ! Il était temps qu’on voit à quel point sa réputation de Héros Increvable était véridique. Conclusion —> Zombieman est un monstre et sa capacité de régénération s’avère prodigieuse. Figurez-vous donc —> Drakul l’a tué plus de 200 fois et Zombieman n’a pas fléchi. Pourtant, Drakul disposait lui-aussi de bonnes capacités de régénération du fait de la petite assemblée de monstres réunis autour d’eux. Rappelons que Drakul n’est pas la bienvenue parmi les monstres les plus faibles vu qu’il n’hésite pas à les dévorer. Cela lui permet, entre autre, de se remettre de blessures plus ou moins sérieuses. ONE a eu l’excellente idée de faire s’affronter deux individus dont les compétences et les noms s’inspirent de deux créatures mythologiques connus de tous. D’un coté, Zombieman a.k.a. ce mort vivant faisant penser à un zombie surboosté, badass et doué de raison. De l’autre, Drakul a.k.a. ce vampire aux pouvoirs similaires à ceux du Comte Dracula.
Particulièrement rapide et doté de réflexes surhumains, Drakul fut à la hauteur de son niveau Démon +++ (similaire à ce qu’était Le Roi Des Profondeurs). En théorie, il aurait dû l’emporter contre Zombieman. En théorie, ahah. On comprend mieux pourquoi Zombieman est le N°8 des Héros S. Pourtant, sa spécialité est le repérage, l’investigation et l’espionnage en milieu ennemi. En combat pur, Zombieman n’est pas exceptionnel. Mais sa capacité de régénération prodigieuse rend le type extrêmement dangereux. Est-il pour autant increvable ? Non. Preuve en est qu’après sa mêlée contre la trentaine de monstre restants, Zombieman se voit forcé de se reposer quelques minutes histoire de régénérer pleinement. Des monstres de type Dragon ++/+++ pourraient venir à bout d’un prodige tel que Zombieman. En attendant, son style bourru, son charisme de héros polar et son caractère nonchalant rendent le personnage très appréciable. Encore un… Qui sera le prochain héros à bénéficier d’un focus ? Peut-être Darkshine (Héros S N°11) ou Pig Dog (Héros S N°10), héhé.
