Les Minions s’emmerdent sec ._. Et si ça continue comme ça, ils finiront tous par…mourir ?! Car sans la présence d’un maitre diabolique à suivre, les petits organismes monoculaires jaunes finissent par dépérir (•︵•) Seulement voilà, d’année en année, tous leurs maitres ont fini par disparaitre. La plupart du temps par leur faute <_< Ce qui explique cet état de léthargie intense au fin fond d’une caverne glaciale. Mais c’en est assez ! Aujourd’hui, Kevin, Stuart et le petit Bob embarquent pour une aventure périlleuse et salvatrice à la recherche du méchant ultime. KOKONAAAAAAA !!!
Franchement, comment ne PAS aimer les Minions ? Dès qu’ils ouvrent la bouche, on est obligés de sourire (au moins) tant leur jargon, mélange confus de plusieurs langues, est magique. Entre les « Helopo ! » (« Au Secours ! »), les « PoKa ?! » (« Quoi ?!), les « Patako ! » (« Je prends ça ! ») et les « Poopaye ! » (« Au revoir ! »), il y a de quoi faire xD Et évidemment, les Français du studio Illumination se sont arrangés pour que toutes les sonorités de cette langue soient comiques au possible :3
Viennent ensuite nos trois Minions préférés : Kevin le cerveau de la bande, Stuart l’artiste incompris et enfin mon favori –> BOB le minion autiste <3 Sérieusement, Bob fait n’importe quoi du début à la fin xD Mais il a un bon fond alors tout est pardonné ! Surtout, on s’attache rapidement à ces trois cas sociaux et même au reste de la tribu qu’on suit par courtes phases durant tout le film.
Petit bémol : Scarlett Overkill n’est PAS si badass que ça même si elle fait très bonne impression au début. Malheureusement, on réalise assez vite qu’elle n’est là que pour servir de ressort comique à nos Minions et, surtout, à l’introduction d’un personnage que nous connaissons fort bien ^_^ Quant à l’histoire, celle-ci se suit sans accrocs et, surtout, sans aucun temps mort. Pourquoi ? Parce que les gags sont légion (⌐■_■)
Certes, on ne rigole pas à gorge déployée (j’ai eu un fou rire à la toute fin mais à part ça…) MAIS on ricane beaucoup ! Beaucoup beaucoup ! Et les plus observateurs d’entre vous se régaleront des références visuelles et musicales à la culture New Yorkaise et Londonienne présentes ci-et-là. Est-ce que je recommanderai « Les Minions » ? Bien évidemment que oui ! À condition de ne pas l’attendre comme le film d’animation de l’année au risque d’être un tout petit peu déçu ! Sur ce, BANANA !!!
