Visiblement piqué au vif d’avoir été condamné pour atteinte à la liberté privée par la Cnil (Commission nationale de l’informatique et des libertés), Google en a profité pour se venger en mettant leur adresse directement sur sa page d’accueil. Raison : la décision de justice obligeait le géant américain à faire état de cette condamnation sur cette même page d’accueil…visitée chaque jour par plusieurs millions de visiteurs.
Or, en mettant un lien direct vers le site de la Cnil, affichant quant à lui quelques milliers de visites au jour, le crash était irrémédiable. Résultat : le site de la Cnil est indisponible. Laul. Un petit troll de Google qui, bien qu’amusant, n’effacera pas le fait que à peu près toutes les données que nous publions sur le net peuvent leur être accessibles. Vous voilà prévenus.